Mais ce que j’ai préféré dans cette affaire c’est l’intervention d’un porte parole de la Maison Blanche , lorsqu’il s’étonnait de la justification avancée par AIG, comme quoi ce bonus servirait à retenir « the best and the brightest » : « si on considère « Best and brightests » ceux qui ont enregistré 99 milliards de dollars de perte en un an, je me demande qui sont les « Worst and dummiest » ».
Le mythe du financier mage s’est définitivement effondré, et l’état américain (enfin, Paulson, ex CEO de Goldman, premier client d’AIG !) qui avait apporté 170 milliards pour sauver l’assureur, est entrain de dire au secteur financier « bon, maintenant, the game is over, alors, stop the bullshit ! ».
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire