Après une campagne presque parfaite, Obama est largement favori pour les élections du 4 novembre.
À sept jours du scrutin, rien ne pourrait désormais faire basculer le résultat : débats, choix des colistiers, affaires et autres déclarations sur la guerre et l’économie sont derrière nous.
La question raciale se trouve donc au centre du choix.
Alors que nous (à l’extérieur) vivons la victoire annoncée d’Obama comme une épopée romantique, élevant un métisse aux commandes du pays le plus puissant du monde, les américains, eux, la voient simplement comme un nouveau chapitre de lutte entre blancs et noirs.
L’attentat déjoué hier vient nous rappeler à quel point ce sujet reste sensible, notamment dans les états du sud qui voient en cet épisode un remake de la défaite de la guerre de Sécession ! (argument développé par une américaine de l’Arkansas que j’ai récemment rencontré, l’Arkansas étant supposé être un « swing » state !)
Mardi prochain, le test sera grandeur nature. Si Obama perd, la déception sera grande. Mais s’il gagne, il faudra rester attentif aux tensions que cela va générer. La même américaine de l’Arkansas assure froidement, qu’il y a une grande chance qu’il soit assassiné avant la fin de son mandat !
À sept jours du scrutin, rien ne pourrait désormais faire basculer le résultat : débats, choix des colistiers, affaires et autres déclarations sur la guerre et l’économie sont derrière nous.
La question raciale se trouve donc au centre du choix.
Alors que nous (à l’extérieur) vivons la victoire annoncée d’Obama comme une épopée romantique, élevant un métisse aux commandes du pays le plus puissant du monde, les américains, eux, la voient simplement comme un nouveau chapitre de lutte entre blancs et noirs.
L’attentat déjoué hier vient nous rappeler à quel point ce sujet reste sensible, notamment dans les états du sud qui voient en cet épisode un remake de la défaite de la guerre de Sécession ! (argument développé par une américaine de l’Arkansas que j’ai récemment rencontré, l’Arkansas étant supposé être un « swing » state !)
Mardi prochain, le test sera grandeur nature. Si Obama perd, la déception sera grande. Mais s’il gagne, il faudra rester attentif aux tensions que cela va générer. La même américaine de l’Arkansas assure froidement, qu’il y a une grande chance qu’il soit assassiné avant la fin de son mandat !
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